J'affûtais le cerf, qui en impose du haut de ses 200 kg de force, brutalité, d'excitation du moment, un concentré de testostérone. Il préféra se défiler et me laisser un adversaire plus à ma taille, en l’occurrence un Lutin!
Ces 250g de nerfs s'agitent devant moi, l'arrogant me toise au sol à qqls mètres, par quatre reprises, avant de finir par traverser l'allée qui nous sépare et se défiler à son tour, sans affrontement. L'honneur est sauf je reste au sommet de la pyramide...